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De Gramoune Sello à Lorens Kabar en passant par Mamas'B, Destin Nation, les Tambouriers de Ganga et Zendemik, Heritaz Maloya, ils étaient bel et bien présents pour faire résonner bobre, kayamb, roulèr et autres instruments traditionnels dans le village dédié au maloya.
A la fois danse, et chant de l'époque de l'esclavage et transmis de génération en génération, le maloya fait partie intégrante de l'histoire de La Réunion. Le public; venu nombreux, a découvert et redécouvert pour certains les aspects multiples de cette «pratique artistique revendicative» originaire d'Afrique et de Madagascar.
A la fois danse, et chant de l'époque de l'esclavage et transmis de génération en génération, le maloya fait partie intégrante de l'histoire de La Réunion. Le public; venu nombreux, a découvert et redécouvert pour certains les aspects multiples de cette «pratique artistique revendicative» originaire d'Afrique et de Madagascar.
Exposition d'instruments de musique lontan
Chants et danses certes, mais aussi exposition d'instruments lontan, de fruits et légumes lontan aussi, d'ouvrages dédiés à l'esclavage, de ces petits objets fabriqués manuellement par les «anciens» et que les jeunes d'aujourd'hui n'ont pas connu.
Un retour en arrière, dans ce passé trouble et difficile que l'on ne peut oublier, et crier haut et fort, comme l'a fait Bernard Batou, responsable de la mise en place de la manifestation pour le compte de la Région Réunion: «Cette journée est placée sous le signe des rencontres et du partage, dans la transmission d'un héritage culturel fort. L'occasion a été donnée aux groupes et associations qui cultivent cet art du maloya de mieux se faire connaître auprès des visiteurs et de rappeler ce bien vivre ensemble de notre île de La Réunion qui porte bien son nom».
Parallèlement ont été organisées dans les lycées de l'île des animations et des conférences en concertation avec le Rectorat, du 28 septembre au 8 octobre. Alain Peters le chantait si bien: «Reste là maloya, reste là même...»
Roland Chane
Un retour en arrière, dans ce passé trouble et difficile que l'on ne peut oublier, et crier haut et fort, comme l'a fait Bernard Batou, responsable de la mise en place de la manifestation pour le compte de la Région Réunion: «Cette journée est placée sous le signe des rencontres et du partage, dans la transmission d'un héritage culturel fort. L'occasion a été donnée aux groupes et associations qui cultivent cet art du maloya de mieux se faire connaître auprès des visiteurs et de rappeler ce bien vivre ensemble de notre île de La Réunion qui porte bien son nom».
Parallèlement ont été organisées dans les lycées de l'île des animations et des conférences en concertation avec le Rectorat, du 28 septembre au 8 octobre. Alain Peters le chantait si bien: «Reste là maloya, reste là même...»
Roland Chane
Philippe Gonthier du groupe Lorans Kabar est admirateur du chanteur Lagarrigue
Mamas’B: le maloya à fond et en famille
Mamas'B, une affaire de famille
«Mamas est un quartier de Sainte-Marie et B signifie «grand»… Sainte-Marie parce que c’est là-bas que le groupe a été crée, c'est un groupe familial». La présentation nous est faite par Eric Lejoyeux, qui a fondé Mamas’B en 2017, bien aidé il est vrai par Rodolphe, le chanteur, qui porte fièrement un chapeau la paille et crie son amour du maloya au micro.
Familial parce qu’ils sont tous frères cousins ou cousines, neveux, etc… pour dire qu’un lien très fort les unit tous. Gypsi, Maria et Rebecca font partie du Trio Rebecca qui se produit harmonieusement avec Mamas’B. Quant à la chorégraphie, elle est confiée à Diana Toare qui s'occupe aussi du management.
Au fil des années Mamas’B s’est renforcé, avec l’arrivée de nouveaux membres, aux côtés de Laurent, David, Lucas, Mathéo, Nolan. Et dans leurs tenues traditionnelles créoles et malgaches, les danseuses apportent un plus indéniable au spectacle où se mêlent des chants de La Réunion et de la Grande Ile. Mamas’B se produit un peu partout dans l’île, avec en ouverture un «Mamas’ lé arrivé» joyeux et bien entraînant...
Contact: 06 93 13 77 44
«Mamas est un quartier de Sainte-Marie et B signifie «grand»… Sainte-Marie parce que c’est là-bas que le groupe a été crée, c'est un groupe familial». La présentation nous est faite par Eric Lejoyeux, qui a fondé Mamas’B en 2017, bien aidé il est vrai par Rodolphe, le chanteur, qui porte fièrement un chapeau la paille et crie son amour du maloya au micro.
Familial parce qu’ils sont tous frères cousins ou cousines, neveux, etc… pour dire qu’un lien très fort les unit tous. Gypsi, Maria et Rebecca font partie du Trio Rebecca qui se produit harmonieusement avec Mamas’B. Quant à la chorégraphie, elle est confiée à Diana Toare qui s'occupe aussi du management.
Au fil des années Mamas’B s’est renforcé, avec l’arrivée de nouveaux membres, aux côtés de Laurent, David, Lucas, Mathéo, Nolan. Et dans leurs tenues traditionnelles créoles et malgaches, les danseuses apportent un plus indéniable au spectacle où se mêlent des chants de La Réunion et de la Grande Ile. Mamas’B se produit un peu partout dans l’île, avec en ouverture un «Mamas’ lé arrivé» joyeux et bien entraînant...
Contact: 06 93 13 77 44
Lorans Kabar accompagné de Gramoune Sello
Eric Lejoyeux, fondateur de Mamas' B avec ses jeunes danseuses : Gipsy, Maria et Rebecca
Fruits et légumes lontan en exposition
Exposition de documents et de photos sur l'histoire de l'esclavage à La Réunion