Les déplacements de passagers par transport aérien entre la métropole et les départements et collectivités d'Outre-Mer (Martinique, Mayotte, Guadeloupe, Guyane, La Réunion, Saint Martin et Saint-Barthélemy) seront restreints à partir de lundi minuit et jusqu'au 15 avril, selon un arrêté publié dimanche au Journal Officiel
Les déplacements entre ces îles seront également strictement limités.
Dans les deux cas des dérogations pour des motifs "impérieux d'ordre personnel ou familial", de "santé relevant de l'urgence" ou "professionnel ne pouvant être différé" peuvent cependant être accordées.
Cette mesure "ne fait pas obstacle au retour dans l'Hexagone des touristes partis en outre-mer, ni de résidents ultramarins qui étaient partis pour un court séjour dans l'Hexagone et n'auraient pas de solution pour y rester", a précisé le Ministère des Outre-mer.
"Le gouvernement a également demandé aux compagnies aériennes de rester mobilisées pour assurer une continuité minimale des liaisons aériennes avec les territoires ultramarins", a-t-il précisé.
La semaine prochaine par exemple, sept vols par jour seront opérés de ou vers La Réunion.
"La situation sanitaire propre à l'insularité, à l'isolement et à l'éloignement des territoires ultra-marins du reste du territoire national, caractérisés par les difficultés majeures auxquelles ces territoires seraient confrontés en cas de propagation massive due à des cas d'importation du virus par voie aérienne" justifie ces mesures déjà annoncées la semaine dernière par les préfectures de ces territoires, selon l'arrêté.
Les personnes qui souhaitent bénéficier de l'une des exceptions mentionnées doivent présenter au transporteur aérien lors de leur embarquement les documents justifiant du motif et une déclaration sur l'honneur, précise l'arrêté.
Les préfectures de La Réunion et de Mayotte avaient déjà indiqué mercredi que les vols d'agrément (tourisme, visites amicales, participation à des cérémonies familiales...) seraient interdits, après des annonces dans le même sens de la Guyane, des préfectures de Guadeloupe et de Martinique.
Les déplacements entre ces îles seront également strictement limités.
Dans les deux cas des dérogations pour des motifs "impérieux d'ordre personnel ou familial", de "santé relevant de l'urgence" ou "professionnel ne pouvant être différé" peuvent cependant être accordées.
Cette mesure "ne fait pas obstacle au retour dans l'Hexagone des touristes partis en outre-mer, ni de résidents ultramarins qui étaient partis pour un court séjour dans l'Hexagone et n'auraient pas de solution pour y rester", a précisé le Ministère des Outre-mer.
"Le gouvernement a également demandé aux compagnies aériennes de rester mobilisées pour assurer une continuité minimale des liaisons aériennes avec les territoires ultramarins", a-t-il précisé.
La semaine prochaine par exemple, sept vols par jour seront opérés de ou vers La Réunion.
"La situation sanitaire propre à l'insularité, à l'isolement et à l'éloignement des territoires ultra-marins du reste du territoire national, caractérisés par les difficultés majeures auxquelles ces territoires seraient confrontés en cas de propagation massive due à des cas d'importation du virus par voie aérienne" justifie ces mesures déjà annoncées la semaine dernière par les préfectures de ces territoires, selon l'arrêté.
Les personnes qui souhaitent bénéficier de l'une des exceptions mentionnées doivent présenter au transporteur aérien lors de leur embarquement les documents justifiant du motif et une déclaration sur l'honneur, précise l'arrêté.
Les préfectures de La Réunion et de Mayotte avaient déjà indiqué mercredi que les vols d'agrément (tourisme, visites amicales, participation à des cérémonies familiales...) seraient interdits, après des annonces dans le même sens de la Guyane, des préfectures de Guadeloupe et de Martinique.
© Agence France-Presse