Les parents de Vinessen et ses frères sont désespérés... (photo L'express Maurice)
Vinessen était un habitant de Grand Baie. Il voulait se rendre au Canada pour travailler afin d’assurer un avenir meilleur à sa famille. Il fallait donc se faire vacciner avant de pouvoir partir, et même s'il était contre la vaccination, il a eu sa première dose d'AstraZeneca le 18 août dans une clinique. Il était alors accompagné de son frère jumeau et d'un cousin. Juste après, il s’était plaint de très douloureux maux de tête.
"Issu d’une famille modeste, cet habitant de Grand-Baie voulait aider les siens à sortir de la misère" a écrit notre confrère L'express. "D’où son désir d’émigrer pour travailler et pouvoir envoyer de l’argent à ses parents. Il avait déjà contacté une agence basée à Ébène. Et quelques jours avant sa mort, il s’y était même rendu pour entamer les procédures".
Lors de l'injection, le médecin avait expliqué à Vinassen que les effets secondaires possibles de la vaccination étaient de la fièvre et des courbatures. En rentrant chez lui, il a commencé à avoir de violents maux de tête. «Mon fils n'avait jamais eu de telles douleurs auparavant. Il ne pouvait les supporter, il attrapait sa tête et il criait», a raconté sa mère.
"Issu d’une famille modeste, cet habitant de Grand-Baie voulait aider les siens à sortir de la misère" a écrit notre confrère L'express. "D’où son désir d’émigrer pour travailler et pouvoir envoyer de l’argent à ses parents. Il avait déjà contacté une agence basée à Ébène. Et quelques jours avant sa mort, il s’y était même rendu pour entamer les procédures".
Lors de l'injection, le médecin avait expliqué à Vinassen que les effets secondaires possibles de la vaccination étaient de la fièvre et des courbatures. En rentrant chez lui, il a commencé à avoir de violents maux de tête. «Mon fils n'avait jamais eu de telles douleurs auparavant. Il ne pouvait les supporter, il attrapait sa tête et il criait», a raconté sa mère.
Il voulait partir travailler au Canada et envoyer de l'argent à ses parents
Souffrant toujours autant, au bout de quelques jours, il s’est rendu chez un médecin qui lui a prescrit des calmants et lui conseillant de voir un ophtalmologue car ces maux de tête pouvaient être liés à sa vue. Il a vu l’ophtalmologue qui n’a rien trouvé d’anormal au niveau de ses yeux.
Samedi 4 septembre, comme il souffrait beaucoup, Vinessen s’est rendu à l’hôpital SSRN, où on lui a fait un scanner. Sa maman a expliqué que son fils avait reçu deux injections «fortes» avant d’être passé au scanner.
«Il était dans les vap, il ne comprenait plus grand chose. Après quelques heures, quand je suis retournée à l’hôpital pour lui apporter son repas, mon fils se plaignait encore de maux de tête et il ne pouvait pas me répondre. Les infirmiers m’ont demandé si c’était mon fils et m’ont dit qu’il était quelqu’un de lourd et de forte corpulence. Je ne comprends toujours pas pourquoi ils m’ont dit ça», a confié la mère à L'express.
Vinessen n'avait aucun problème de santé avant de se faire vacciner...
Le journal raconte que dans la nuit de samedi, le jeune homme aurait fait une crise d’épilepsie selon les membres du personnel. Il a alors été transféré à l’hôpital Victoria, où il a été placé dans l’unité des soins intensifs. Il était dans un état comateux et a été mis sous appareil respiratoire lorsque ses proches ont appris son transfert.
Et mercredi 8 septembre au matin, l'horrible nouvelle est tombée, Vinessen était mort. Ses frères Vellen et Vanessen ont beaucoup de mal à accepter sa disparition: «Il était quelqu’un de bon et de trop jeune pour mourir.» Leurs parents veulent comprendre ce qui s’est passé et ont donc porté plainte.
Est-ce le vaccin AstraZeneca qui a tué Vinessen Magon? Ou s'agit-il d'une autre cause? Les questions demeurent, mais il s'agit d'un nouveau cas de décès qui va donner de l'eau au moulin des anti-vaccins.