Héritière des «Volontaires de Bourbon» créés en 1758, puis intégrée au 2e RPIMa en 1973, «cette compagnie a toujours recruté localement des appelés, des engagés puis des réservistes, pour défendre notre territoire et protéger nos populations», a rappelé le colonel Geoffroy Rondet, chef de corps du 2e RPIMa, à l’occasion de la remise des bérets parachutistes.
Marquée par le respect des règles sanitaires liées à la crise COVID-19 (masques pour évoluer dans l’enceinte militaire et distanciation sociale sur les rangs), la cérémonie s’est déroulée sur la Place d’armes du régiment en présence de représentants des associations d’anciens combattants et des familles, conviées exceptionnellement pour accompagner les nouvelles recrues dans leurs premiers pas en tant que militaires.
Marquée par le respect des règles sanitaires liées à la crise COVID-19 (masques pour évoluer dans l’enceinte militaire et distanciation sociale sur les rangs), la cérémonie s’est déroulée sur la Place d’armes du régiment en présence de représentants des associations d’anciens combattants et des familles, conviées exceptionnellement pour accompagner les nouvelles recrues dans leurs premiers pas en tant que militaires.
Les réservistes représentent le lien physique entre la Nation et son armée, et le colonel Rondet a salué l’engagement des 19 de la promotion d’août 2020: «Soyez fiers de ce que vous venez d’accomplir et fiers de ce béret rouge que vous portez désormais sur votre tête, signe d’appartenance aux troupes parachutistes. Je compte sur vous pour promouvoir, dans votre entourage, l’esprit de Défense qui vous a animé à votre engagement, pour susciter de nouvelles vocations».
Une expérience à vivre
Après avoir découvert le milieu militaire lors d’une formation au RSMA-R comme agent de sécurité, le soldat Damien Alexandre, originaire du Tampon, décide, 12 ans plus tard, de renouer avec les valeurs de l’Armée de Terre en parallèle de sa vie professionnelle civile et familiale.
Marié et père d’un petit garçon de 5 ans, il prend un nouveau virage à 30 ans. «Au début, j’avais un petit pincement au cœur de le voir partir pour quinze jours, mais maintenant je suis fière de lui», confie Aurélie, sa femme.
Durant la FMIR, il a eu un premier contact avec la rusticité du métier. «On a appris à marcher au pas, on a fait du tir, des exercices, on a dormi dehors... et il faisait bien froid à la Plaine-des-Cafres!», souligne-t-il. «Mais finalement c’était bien, c’est une expérience à vivre».
Photos CC1 Jimmy / 2e RPIMa
Après avoir découvert le milieu militaire lors d’une formation au RSMA-R comme agent de sécurité, le soldat Damien Alexandre, originaire du Tampon, décide, 12 ans plus tard, de renouer avec les valeurs de l’Armée de Terre en parallèle de sa vie professionnelle civile et familiale.
Marié et père d’un petit garçon de 5 ans, il prend un nouveau virage à 30 ans. «Au début, j’avais un petit pincement au cœur de le voir partir pour quinze jours, mais maintenant je suis fière de lui», confie Aurélie, sa femme.
Durant la FMIR, il a eu un premier contact avec la rusticité du métier. «On a appris à marcher au pas, on a fait du tir, des exercices, on a dormi dehors... et il faisait bien froid à la Plaine-des-Cafres!», souligne-t-il. «Mais finalement c’était bien, c’est une expérience à vivre».
Photos CC1 Jimmy / 2e RPIMa
La cérémonie a eu lieu à la caserne CBA Dupuis de Pierrefonds, sous le commandement du colonel Geoffroy Rondet