Joël Pèlerin, et Alice Ranorojaona Pèlerin sont à l’initiative de cette exposition de Nu Artistique: lui avec ses photos, elle avec ses mots. Médecins de métier, ils sont au premier plan de la souffrance humaine et s’inspirent des problématiques constatées dans leurs pratiques pour les porter sur la place publique dans un langage artistique, un langage symbolique commun à toute l’humanité pour interpeller la société sur une autre manière d’aborder la question.
Le but est d’attirer le regard sur l’homme, le masculin, d’interroger sur la place qu’on lui attribue, les représentations que l’on peut en avoir, évoquer ses forces, ses faiblesses… C’est pour cette raison que le couple a choisi la date du 19 novembre qui correspond à la Journée Internationale de l’Homme, célébrée dans plus de 60 pays.
Le but est d’attirer le regard sur l’homme, le masculin, d’interroger sur la place qu’on lui attribue, les représentations que l’on peut en avoir, évoquer ses forces, ses faiblesses… C’est pour cette raison que le couple a choisi la date du 19 novembre qui correspond à la Journée Internationale de l’Homme, célébrée dans plus de 60 pays.
Cet événement veut aussi mettre le projecteur sur le lien que l’homme peut avoir avec son entourage, en particulier avec la femme. Il évoque la complémentarité homme-femme, parle plus d’équivalence que d’égalité pour laquelle il précise toujours «égalité de droit», car il revendique le maintien de la différence.
A l’heure où le nombre de «féminicides» explose dans le monde, cet événement veut transcender la tendance de la société à vouloir victimiser les femmes et stigmatiser les hommes, et à les opposer dans un redoutable face-à face. Considérant que la souffrance est à la source de toute violence, cette démarche se préoccupe surtout de la souffrance dans le lien qui lie les personnes et qui aboutit à ces drames pour lesquels nos sociétés semblent si désarmées. Cette souffrance qui peut se transmettre de génération en génération, perpétue les problématiques.
A l’heure où le nombre de «féminicides» explose dans le monde, cet événement veut transcender la tendance de la société à vouloir victimiser les femmes et stigmatiser les hommes, et à les opposer dans un redoutable face-à face. Considérant que la souffrance est à la source de toute violence, cette démarche se préoccupe surtout de la souffrance dans le lien qui lie les personnes et qui aboutit à ces drames pour lesquels nos sociétés semblent si désarmées. Cette souffrance qui peut se transmettre de génération en génération, perpétue les problématiques.
Ce vernissage a permis la découverte de deux jeunes créateurs malgaches, avec deux défilés de mode: le 1er de Raleva et le 2ème avec Kelhie créatrice de la ligne «Bogasy» qui habille entre autres les Barea footballeurs de Madagascar.
Ce vernissage s’est terminé par la tenue d’une table ronde pluridisciplinaire ayant comme intervenants le Général Désiré Philippe Ramakavelo, retraité de l’Armée Malgache et animateur d’une émission radiophonique, Jean Paul Clément, directeur général de l’Alliance Française pour l’Océan Indien, Edwige Roberval, psychologue-clinicienne, Joël Pélerin, artiste photographe, médecin et ingénieur, Alice Ranorojaona Pélerin, médecin anthropologue et victimologue. L’échange avec le public a suscité de très nombreuses questions.
L’ambiance musicale a été assurée par Zamba, joueur et créateur de Valiha chromatique.
L’exposition sera transférée ensuite au Tahala Rarihasina de l’Académie Malgache au centre ville d’Antananarivo, du 1er au 11 décembre 2019. Si vous êtes de passage à Madagascar, ça vaut le coup d'oeil.
Photos DR
Ce vernissage s’est terminé par la tenue d’une table ronde pluridisciplinaire ayant comme intervenants le Général Désiré Philippe Ramakavelo, retraité de l’Armée Malgache et animateur d’une émission radiophonique, Jean Paul Clément, directeur général de l’Alliance Française pour l’Océan Indien, Edwige Roberval, psychologue-clinicienne, Joël Pélerin, artiste photographe, médecin et ingénieur, Alice Ranorojaona Pélerin, médecin anthropologue et victimologue. L’échange avec le public a suscité de très nombreuses questions.
L’ambiance musicale a été assurée par Zamba, joueur et créateur de Valiha chromatique.
L’exposition sera transférée ensuite au Tahala Rarihasina de l’Académie Malgache au centre ville d’Antananarivo, du 1er au 11 décembre 2019. Si vous êtes de passage à Madagascar, ça vaut le coup d'oeil.
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