Le nouveau groupe Meta inclut plusieurs entreprises et apps différentes, dont Facebook (le réseau social), Messenger, Instagram, Oculus et Portal.
Dans son discours, Mark Zuckerberg a beaucoup parlé de ce fameux métaverse, assurant notamment que, selon lui, il s’agirait tout simplement du «futur de l’internet mobile actuel», bien que cela soit prévu pour «un futur assez lointain»...
L'objectif est de transformer Facebook en une sorte de "métaverse" géant, un «univers virtuel fictif, dans lequel les individus pourraient évoluer dans des espaces persistants et partagés, en trois dimensions». Et pour le construire, il table sur l'embauche de 10 000 personnes sur les 5 prochaines années.
Selon lui, le métaverse s’articulera autour de certains concepts comme les avatars, la téléportation, les objets virtuels et les interfaces naturelles.
Dans son discours, Mark Zuckerberg a beaucoup parlé de ce fameux métaverse, assurant notamment que, selon lui, il s’agirait tout simplement du «futur de l’internet mobile actuel», bien que cela soit prévu pour «un futur assez lointain»...
L'objectif est de transformer Facebook en une sorte de "métaverse" géant, un «univers virtuel fictif, dans lequel les individus pourraient évoluer dans des espaces persistants et partagés, en trois dimensions». Et pour le construire, il table sur l'embauche de 10 000 personnes sur les 5 prochaines années.
Selon lui, le métaverse s’articulera autour de certains concepts comme les avatars, la téléportation, les objets virtuels et les interfaces naturelles.
Cette décision de changer de nom arrive à un moment compliqué pour le groupe de Mark Zuckerberg, qui subit des critiques de toutes parts. En octobre, il a été victime d'une panne géante de plusieurs heures sur toutes ses applications.
Parallèlement, la lanceuse d’alerte Frances Haugen a fait fuiter des dizaines de milliers de documents internes au réseau social Facebook. On a ainsi appris que la plateforme avait connaissance depuis longtemps de certaines répercussions négatives de ses algorithmes sur ses utilisateurs, mais aussi sur les processus démocratiques de certains États.
Tout ça ne changera pas grand chose à la puissance des réseaux sociaux gérés par Meta, le groupe ayant d'ailleurs même pris quelques points à la bourse après l'annonce de ce changement de nom... Facebook ou Meta, c'est du pareil au même, c'est de la communication avant tout.