"Au vu de l’évolution favorable de l’épidémie de Covid-19 en outre-mer, de nouvelles dispositions adaptées à la situation sanitaire ont été décidées lors du conseil de défense et de sécurité nationale du jeudi 12 juin et seront mises en place au cours des prochains jours" dit le communiqué
Un protocole est déjà en place dans notre île jusqu'au 22 juin
Dans un article que nous avons publié ce mercredi 10 juin, nous avons expliqué le nouveau dispositif.
- tous les passagers sont invités à réaliser dans les 72 heures précédant le vol un test RT-PCR, de détection du Covid-19. Ce test peut se faire sans prescription médicale.
- les passagers qui présentent un résultat positif au Covid-19 ne peuvent pas prendre l’avion.
- les passagers qui présentent un résultat négatif au Covid-19 pourront effectuer une septaine, soit sept jours de quarantaine, suivi d’un nouveau test RT-PCR. Si ce 2ème test est négatif, la quarantaine est allégée.
- si le passager ne présente aucun test à l’embarquement, il devra réaliser une quatorzaine stricte à l’arrivée sur le territoire.
Nouvelles modalités à compter du 22 juin
- les motifs impérieux de déplacement seront supprimés. Pour Mayotte et la Guyane, la situation sera réévaluée d’ici le 22 juin
- le nombre de passagers par vol sera déplafonné et le nombre de vols sera progressivement augmenté en accord avec les élus des territoires.
Enfin, dès son entrée en vigueur (au plus tard le 10 juillet), la loi de fin d’état d’urgence sanitaire rendra obligatoire le test avant départ pour se rendre dans les territoires d’outre-mer et la quarantaine à l’arrivée sera supprimée.
Un protocole est déjà en place dans notre île jusqu'au 22 juin
Dans un article que nous avons publié ce mercredi 10 juin, nous avons expliqué le nouveau dispositif.
- tous les passagers sont invités à réaliser dans les 72 heures précédant le vol un test RT-PCR, de détection du Covid-19. Ce test peut se faire sans prescription médicale.
- les passagers qui présentent un résultat positif au Covid-19 ne peuvent pas prendre l’avion.
- les passagers qui présentent un résultat négatif au Covid-19 pourront effectuer une septaine, soit sept jours de quarantaine, suivi d’un nouveau test RT-PCR. Si ce 2ème test est négatif, la quarantaine est allégée.
- si le passager ne présente aucun test à l’embarquement, il devra réaliser une quatorzaine stricte à l’arrivée sur le territoire.
Nouvelles modalités à compter du 22 juin
- les motifs impérieux de déplacement seront supprimés. Pour Mayotte et la Guyane, la situation sera réévaluée d’ici le 22 juin
- le nombre de passagers par vol sera déplafonné et le nombre de vols sera progressivement augmenté en accord avec les élus des territoires.
Enfin, dès son entrée en vigueur (au plus tard le 10 juillet), la loi de fin d’état d’urgence sanitaire rendra obligatoire le test avant départ pour se rendre dans les territoires d’outre-mer et la quarantaine à l’arrivée sera supprimée.
Situation des compagnies aériennes ultramarines
Le Ministère explique que "ce calendrier et ces modalités de reprise du trafic aérien ont été partagées ce jour par Annick Girardin, Ministre des Outre-mer, et Jean-Baptiste Djebbari, secrétaire d’Etat aux Transports, avec les compagnies aériennes françaises desservant les territoires ultramarins".
La situation économique des compagnies aériennes a été évoquée, avec en filigrane les mesures de soutien prises par le Gouvernement:
- les entreprises de transport aérien de passagers, quelle que soit leur taille, pourront continuer à bénéficier d’une prise en charge à 100% de l’indemnité d’activité partielle pour les heures non travaillées jusqu’en septembre.
- les compagnies aériennes de moins de 250 salariés bénéficieront d’une exonération de cotisations patronales acquittées ou reportées durant les mois de mars à juin 2020 (au titre des périodes d’emploi de février à mai). En outre, une aide au paiement des cotisations et contributions sociales égale à 20 % de la masse salariale bénéficiant de l’exonération sera mise en place.
- l’État va mettre en place 300 millions d’euros d’avances afin de prendre en charge "les dépenses régaliennes des aéroports" et ainsi éviter tout impact au sortir de la crise du Covid-19 pour les compagnies aériennes.