Afin de pouvoir garantir la bonne tenue de la manifestation, les organisateurs ont décidé à la dernière minute d’avancer la compétition afin de ne pas subir les probables perturbations que le cyclone Belna a apporter sur Mayotte.
Le sujet de cette année fait la part belle à l’écologie et au développement durable. "Des extra-terrestres venus pour nous exterminer concèdent à nous offrir une seconde chance en nous permettant de venir apprendre leur savoir en écologisme directement sur leur planète. Les humains possèdent déjà ce type de transfert de compétence avec ce que l’on appelle “Woofing”: bénéficier du gîte et du couvert en échange d’un travail dans un ferme où l’on bénéficie également d’un apprentissage des savoir-faire locaux endémiques. Les extra-terrestres souhaitent donc développer une plateforme de Woofing Interstellaire pour que les jeunes humains puissent venir directement sur leur planète apprendre leur savoir-faire agricole et écologique et revenir ensuite le mettre en oeuvre sur notre planète afin de la sauver".
Le sujet de cette année fait la part belle à l’écologie et au développement durable. "Des extra-terrestres venus pour nous exterminer concèdent à nous offrir une seconde chance en nous permettant de venir apprendre leur savoir en écologisme directement sur leur planète. Les humains possèdent déjà ce type de transfert de compétence avec ce que l’on appelle “Woofing”: bénéficier du gîte et du couvert en échange d’un travail dans un ferme où l’on bénéficie également d’un apprentissage des savoir-faire locaux endémiques. Les extra-terrestres souhaitent donc développer une plateforme de Woofing Interstellaire pour que les jeunes humains puissent venir directement sur leur planète apprendre leur savoir-faire agricole et écologique et revenir ensuite le mettre en oeuvre sur notre planète afin de la sauver".
L'originalité de cette édition fut l’intégration dans la compétition de 15 femmes développeuses novices qui ont bénéficié d’une préparation en amont de la compétition, et qui ont concouru dans les mêmes conditions que les équipes officielles des îles. Elles ont réussi haut la main ce challenge en présentant elles aussi leur travail au terme des 24 heures. C’est à une des équipes de Mayotte que les membres du jury ont décidé de donner une première place “hors compétition”.
Le travail des équipes a été longuement débattu au sein des membres du jury avec une délibération de plus d’une heure due à la qualité de l’ensemble du travail fourni par les équipes. Ils ont finalement décerné le GRAAL des développeurs web de l’Océan Indien à Mayotte pour l’édition 2018, et La Réunion pour celle de 2019. C’est la seconde fois pour ces deux territoires de remporter la Finale Webcup Océan Indien.
Le travail des équipes a été longuement débattu au sein des membres du jury avec une délibération de plus d’une heure due à la qualité de l’ensemble du travail fourni par les équipes. Ils ont finalement décerné le GRAAL des développeurs web de l’Océan Indien à Mayotte pour l’édition 2018, et La Réunion pour celle de 2019. C’est la seconde fois pour ces deux territoires de remporter la Finale Webcup Océan Indien.