Les recherches continuent, partout dans le monde, pour trouver une parade au coronavirus...
Le coronavirus, Exclusif Réunion a été l'un de premiers à en parler et à alerter l'opinion publique, et nous avions raison car l'épidémie a gagné du terrain, continuant à faire des morts, essentiellement en Chine, et à toucher un grand nombre de personnes.
Aujourd'hui, dès que quelqu'un commence à tousser ou quand on voit un Chinois, c'est l'angoisse. Avant, et encore maintenant, c'était les Arabes qu'on craignait, la peur d'un attentat étant toujours présente. Aujourd'hui, dans les transports parisiens, les gens s'éloignent naturellement d'une personne aux traits asiatiques ou de quelqu'un qui tousse un peu. Une discrimination qui n'a pas lieu d'être.
A Paris, beaucoup de Chinois portent des masques, ceci explique sans doute cela. Et si quelqu'un à une quinte de toux -ça peut arriver-, il est obligé de se retenir pour ne pas devenir un paria! C'est grave docteur.
Toujours est-il que ce lundi, "l'info" a circulé comme une traînée de poudre: un salarié d'EDF Réunion, revenant de Chine, aurait le coronavirus. Les réseaux sociaux en général, les sites "d'infos" à sensation, et la télévision publique en ont fait leur beurre, sans vérification bien évidemment. Panique générale!
Pour arrêter la propagation de cette fausse info, EDF Réunion a publié un communiqué de presse:
"Ce midi, une information erronée a évoqué un cas de suspicion qui toucherait un agent d’EDF à La Réunion de retour de Chine. EDF dément formellement cette information et tient à préciser les faits.
Après un séjour personnel en Chine, comme d’autres Réunionnais, l’un de nos salariés s’est vu proposer un aménagement en télétravail après échanges avec sa hiérarchie, appliquant ainsi un principe de précaution qui s’inscrit directement dans sa priorité en faveur de la santé et de la sécurité de ses salariés. Nous prenons régulièrement des nouvelles de notre salarié qui va très bien".
Oui au principe de précaution, non à la diffusion de fausses nouvelles. Pas de bol donc pour les "informateurs" en quête de sensationnel, ce ne sera pas pour cette fois. Demain, n'en doutons pas, d'autres cas virtuels vont être médiatisés, et quand véritablement un Réunionnais sera touché, et ça peut arriver hélas,, on ne saura plus où est la vérité...
Aujourd'hui, dès que quelqu'un commence à tousser ou quand on voit un Chinois, c'est l'angoisse. Avant, et encore maintenant, c'était les Arabes qu'on craignait, la peur d'un attentat étant toujours présente. Aujourd'hui, dans les transports parisiens, les gens s'éloignent naturellement d'une personne aux traits asiatiques ou de quelqu'un qui tousse un peu. Une discrimination qui n'a pas lieu d'être.
A Paris, beaucoup de Chinois portent des masques, ceci explique sans doute cela. Et si quelqu'un à une quinte de toux -ça peut arriver-, il est obligé de se retenir pour ne pas devenir un paria! C'est grave docteur.
Toujours est-il que ce lundi, "l'info" a circulé comme une traînée de poudre: un salarié d'EDF Réunion, revenant de Chine, aurait le coronavirus. Les réseaux sociaux en général, les sites "d'infos" à sensation, et la télévision publique en ont fait leur beurre, sans vérification bien évidemment. Panique générale!
Pour arrêter la propagation de cette fausse info, EDF Réunion a publié un communiqué de presse:
"Ce midi, une information erronée a évoqué un cas de suspicion qui toucherait un agent d’EDF à La Réunion de retour de Chine. EDF dément formellement cette information et tient à préciser les faits.
Après un séjour personnel en Chine, comme d’autres Réunionnais, l’un de nos salariés s’est vu proposer un aménagement en télétravail après échanges avec sa hiérarchie, appliquant ainsi un principe de précaution qui s’inscrit directement dans sa priorité en faveur de la santé et de la sécurité de ses salariés. Nous prenons régulièrement des nouvelles de notre salarié qui va très bien".
Oui au principe de précaution, non à la diffusion de fausses nouvelles. Pas de bol donc pour les "informateurs" en quête de sensationnel, ce ne sera pas pour cette fois. Demain, n'en doutons pas, d'autres cas virtuels vont être médiatisés, et quand véritablement un Réunionnais sera touché, et ça peut arriver hélas,, on ne saura plus où est la vérité...