Sa tentative a été très suivie, sur les réseaux sociaux et par les médias. Et comme le disait son père et entraîneur Joël Hauss, «quand David se lance dans une course, ce n'est pas pour faire semblant. Maintenant, dire qu'il aurait connu cette même forme dans le Grand Raid s'il avait été maintenu, c'est autre chose... ».
Dès lors, tout le monde avait les yeux rivés sur cette phénoménale ascension sur le plus haut sommet de l'île. Il l'a fait de manière professionnelle dans sa préparation, dans sa tentative au jour «J», et il a été encadré aussi de manière professionnelle. Il avait son coach, des photographes et caméramen à ses côtés et transportés là-haut, à 3 070 m d'altitude, pour l'accueillir. Un encadrement qui avait mis les moyens, dans la mesure où un hélicoptère a été mobilisé. Rien que ça!
Dès lors, tout le monde avait les yeux rivés sur cette phénoménale ascension sur le plus haut sommet de l'île. Il l'a fait de manière professionnelle dans sa préparation, dans sa tentative au jour «J», et il a été encadré aussi de manière professionnelle. Il avait son coach, des photographes et caméramen à ses côtés et transportés là-haut, à 3 070 m d'altitude, pour l'accueillir. Un encadrement qui avait mis les moyens, dans la mesure où un hélicoptère a été mobilisé. Rien que ça!
Avis aux amateurs de record
Il a quitté Pierrefonds à 5h 30 sur la base du record de Jeannick Grondin, puis relancé la machine sur des zones roulantes, et enfin il est passé à la surmultiplié entre le gîte du Piton des Neiges et le sommet de l'île.
Au final un chrono de 4h 41'', soit 11 minutes de mieux que l'ancien record. Ce n'était pas terminé pour autant, puisqu'il reprenait le chemin du retour pour établir une marque de référence sur cette descente et en même un temps un nouveau sur l'aller-retour, 8h 58'' pour 72 km au compteur. Aux amateurs désormais de relever le défi.
Roland Chane