Réuni à Zürich (Suisse) ce samedi, l’IFAB (International Football Association Board) a donc confirmé que l’assistance vidéo serait bien utilisée lors de la prochaine Coupe du Monde, qui se tiendra en Russie du 14 juin au 15 juillet. C'était une volonté du président de la FIFA (Fédération Internationale de Football), Gianni Infantino.
"Cette assistance aidera certainement à avoir une Coupe du monde plus juste" a dit Gianni Infantino. "Si un arbitre fait une erreur, la VAR la corrigera. Ce ne sera pas parfait à 100%, il restera des zones grises, mais une Coupe du Monde ne peut pas se jouer sur une erreur potentielle d'arbitrage. Nous devons tout faire pour que l'arbitre soit dans les meilleurs dispositions pour prendre les bonnes décisions".
Ce procédé est censé aider les arbitres en cas de litige sur quatre situations bien précises: un hors-jeu, un but, un penalty accordé ou un carton rouge direct. Cela prendra à chaque fois environ une minute, qui sera décompté à la fin de chaque mi-temps.
L’UEFA, présidé par Alexander Ceferin, a refusé de l’introduire pour la Ligue des champions. En revanche, il sera appliqué en Ligue 1 en France la saison prochaine.
Deux autres décisions importantes ont été prises ce samedi par l’IFAB. En cas de prolongations, les entraîneurs disposeront d’un quatrième remplaçant et pourront communiquer avec un membre de leur staff et un médecin placés en tribune, via un dispositif électronique.
On regardera tout ça avec attention en juin...
"Cette assistance aidera certainement à avoir une Coupe du monde plus juste" a dit Gianni Infantino. "Si un arbitre fait une erreur, la VAR la corrigera. Ce ne sera pas parfait à 100%, il restera des zones grises, mais une Coupe du Monde ne peut pas se jouer sur une erreur potentielle d'arbitrage. Nous devons tout faire pour que l'arbitre soit dans les meilleurs dispositions pour prendre les bonnes décisions".
Ce procédé est censé aider les arbitres en cas de litige sur quatre situations bien précises: un hors-jeu, un but, un penalty accordé ou un carton rouge direct. Cela prendra à chaque fois environ une minute, qui sera décompté à la fin de chaque mi-temps.
L’UEFA, présidé par Alexander Ceferin, a refusé de l’introduire pour la Ligue des champions. En revanche, il sera appliqué en Ligue 1 en France la saison prochaine.
Deux autres décisions importantes ont été prises ce samedi par l’IFAB. En cas de prolongations, les entraîneurs disposeront d’un quatrième remplaçant et pourront communiquer avec un membre de leur staff et un médecin placés en tribune, via un dispositif électronique.
On regardera tout ça avec attention en juin...